Bien sûr, le lire en entier et ne surtout pas rester bloqué sur le chiffre du risque. Pour ma part, j’ai décidé de ne plus parler en chiffre, en utilisant uniquement la terminologie des types de risque (Faible, Limité Marqué, Fort et Très Fort).
Mais aussi, pas de lecture du BERA sans connaissance de base de la nivologie (cristaux/métamorphoses/plaques/avalanches). Car certains mots utilisés, par exemple pour les strates fragiles, nécessitent l’usage de mots précis.
Après une longue période durant laquelle l’enseignement des cristaux a été mise de côté, il semble de plus en plus indispensable, actuellement, que chaque participants/pratiquants connaissent les bases de la nivologie pour acquérir un langage commun scientifique et pouvoir discuter de neige sur le terrain et durant le phases de prises de décision en commun. C’est la seule manière de comprendre le BERA et principalement les structures de plaque et les strates fragiles.
Concrètement… Les situations d’avalanche typiques doivent être identifiées le mieux possible avec leurs localisations et exprimées avec des mots précis.