Pour préparer le prochain voyage au Mustang au printemps 2018, voici un article regroupant les liens de toutes les pages consacrées au Mustang sur mon ancien site.
Car je sais qu’il est particulièrement difficile de ne pas se perdre dans les profondeurs insondables de ce dinosaure qui m’a accompagné pendant plus de dix années de voyages et d’expéditions.
J’ai essayé de les regrouper par thèmes car j’ai aussi bien du mal à m’y retrouver moi-même après tant de temps consacré à cette région fascinante.
Attention, n’oubliez pas votre boussole en naviguant au gré de cette multitude de page. Le risque de s’y perdre est réel !
Ou, tout simplement laissez vous aller… au gré des liens et des clics pour un voyage ethnographique dans les sédiments de mon ancien site.
Avant Mustang Phu… La pré histoire de notre exploration du Mustang
Le texte d’intro de la présentation du voyage vers le Bhrikiti Shail depuis Phu.
« Dans le Grand Himalaya du Népal, il existe une vallée et des villages presque hors du temps. C’est la vallée de Naar et Phu.
Visiter cette vallée perdue, aux confins du Tibet, est une expérience unique et exceptionnelle.
D’alpinistes, nous nous transformerons en explorateurs…, poursuivant notre route depuis Phu, le dernier village, en suivant d’anciens sentiers jusqu’aux glaciers, nous découvrirons des sommets inconnus, comme suspendues entre deux mondes.
Les sommets, que je vous propose de gravir ne seront ni forcement difficiles, ni forcement très hauts (entre 6300 et 6700 m), mais pour la plupart se sont des sommets vierges où tout sera à découvrir et à inventer.
Un peu comme un jeu d’enfants, découvrant émerveillés un monde nouveau et plein de mystères.
C’est aussi un luxe rare, le parfum enivrant de l’exploration et de l’aventure…Un alpinisme très British ! »
La première ascension du versant Sud du Bhrikuti.
L’histoire d’Alfred.… recueilli avec Denis Flaven et a lire absolument !
Vers l’autre versant, une belle histoire vers les « Very Lost Valley », avec Jocelyn Chavy.
Le premier «Mustang Phu» en 2007.
Le début d’une longue histoire.
Le récit de cet » incroyable voyage ».
» Ce voyage, du pays de Lo au village de Phu est le plus exceptionnelle que j’ai vécu au Népal
en plus de 15 ans d’itinérance et d’expéditions himalayennes. »
Le topo de Mustang Phu. Ecrit bien des années plus tard…
Damodar 2008… retourner vers Mustang Phu, mais différemment.
Une idée du projet dans La présentation du voyage vers le Kumjungar Himal.
« L’objectif est de reprendre le déroulement du voyage du Mustang à Phu, mais en consacrant plus de temps à la partie ascension, en restant une semaine au coeur du massif du Damodar Himal.
Pour faire de l’alpinisme et forcement des premières ascensions, dans ce massif où beaucoup de choses restent à faire.
Un projet tout simple :installer un camp d’altitude au milieu de nulle part, pour gravir les sommets environnants en suivant nos intuitions, nos envies…
La dernière étape de notre voyage est tout aussi exceptionnelle : rester à Phu quelques jours…. en arrivant au village par le haut !
Nous serons alors ouverts à toutes les rencontres. »
L’alpinisme dans le massif du Saribung.
2009, du Dolpo au Mustang, un nouvel itinéraire inédit. Vers les région de l’Ouest du Mustang.
Une recco au printemps 2008 avec Chhotemba Sherpa, de retour de l’ascension de la Putha Hiunchuli :
De la vallée de Mu à Jomosom.
C’est le début de l’itinéraire pour rejoindre le village de Chharka, depuis Jomosom.
Voici le texte de présentation :
« Vous avez aimé l’histoire de Mustang à Phu ?
Cette traversée originale au parfum d’aventure et d’exploration, avec l’émotion indéfinissable de la toute 1ère fois, l’intérêt culturel d’une passerelle symbolique entre deux mondes, un zeste de défi sportif pour envisager de gravir et de traverser des montagnes inconnues à plus de 6000 m.
Les mêmes ingrédients seront réunis pour cette nouvelle traversée du Mustang au Dolpo.
L’itinéraire n’est répertorié nulle part ? Le nom du sommet vous est inconnu ?
C’est normal, car très peu d’alpinistes ont gravit l’Araniko et certainement personne n’a effectué cette traversée. C’est ce qui fait d’ailleurs tout l’intérêt de ce nouvel itinéraire.
Laissez-vous simplement porter par le projet.
Dépliez les cartes sur le tapis du salon : le voyage peut commencer.
L’itinéraire est maintenant décidé.
Nous partirons de Jomosom pour rejoindre le Nord Dolpo, puis nous traverserons les montagnes pour enfin atteindre Lo Manthang, la capitale du Mustang.
L’idée de rejoindre, à travers les montagnes, ces deux lieux, à la fois si semblables et si différents, est d’une simplicité lumineuse. Qui sait…, peut-être jouerons-nous à saute frontières, pour porter un regard vers le Tibet ?
Pour cet itinéraire déambulatoire qui conjugue culture, randonnée et alpinisme, il y aura forcément un séjour à Chharka, un autre village du bout du monde, révélé par le film « Himalaya, l’enfance d’un chef ». Et une visite au delà de Lo…
Pour aller si loin, il nous faudra du temps.
Il faudra suspendre notre pas pour bien vivre la magie de l’altitude, s’ouvrir au jeu juvénile de la découverte, du 1er regard… partager l’inquiétude de Chhotemba et s’engager vers un ailleurs inconnu.
Comme moi…,
vous allez adorer cette nouvelle traversée du Dolpo au Mustang. »
Un compte rendu en trois parties…
1…, De Jomosom à Chharka, la porte du Dolpo.
2…, De Chharka à Lo Manthang, la partie ascension et le Kekyap La.
3…, La descente de Lo Manthang à Jomosom, un trek chez l’habitant !
Et un complément plus culturel. Qui était Araniko ?
2010, Bhrikuti est au coeur de nos préocupations. La déesse comme le sommet…
A la rencontre de Bhrikuti, à la fois déesse et princesse.
Pendant plusieurs années, avec l’agence TIRAWA, le Bhrikuti était en fait le sommet du Bhrikuti Shail, car il était idéalement adapté à un voyage pour des randonneurs-alpinistes. Aujourd’hui, ce sommet est officiellement autorisé.
Mes pensées s’envolent vers Bhrikuti, belle princesse népalaise, fille de l’empereur Amsuvarman,
qui au VIIème siècle fut mariée au roi tibétain Song Tsen Gampo.
A la croisée de l’histoire et de la religion, elle restera dans toutes les mémoires sous le nom de la déesse Tara Blanche pour avoir contribué à l’expansion du Bouddhisme au Tibet.
Et le compte rendu de ce voyage inédit.
Des lacs de Damodar à Samdzong.
« Les paysages du Mustang sont bien plus que de simples cartes postales d’une beauté époustouflante. Pour en découvrir la signification il faut prendre son temps, se glisser derrière les replis des sédiments de Thétis.
Il faut se perdre tout au Nord, là où le ciel se confond avec les étendues désertiques des immensités tibétaines.
Et rencontrer Sago Namgo, Rigsum Gonpö, Guru Padma Sambawa, la princesse Bhrikuti et le dieu indou Vishnou.
Au pays du sacré, toutes les philosophies s’entremêlent joyeusement.
Notre itinérance à travers le Mustang nous conduira aux lacs sacrés du Damodar, vénérés comme étant la source de la Kali Gandaki et le lieu d’origine des Saligrams. À la frontière tibétaine, l’ascension du Bhrikuti sera chargée d’histoire et de religion. Avec Bhrikuti, belle princesse népalaise, nous voici au Tibet, au temps du roi Song Tsen Gampo. Le Potala et le Jokang sont en construction et la Grande Démonne a été annihilée.
Cette ascension n’est pas difficile, bien au contraire.
Un piolet léger, une paire de crampons et une corde suffisent pour dépasser l’altitude symbolique de 6000 m et goûter à la magie des expéditions himalayennes.
Bhrikuti nous permet surtout de poursuivre notre chemin dans l’extrême Nord du Mustang, vers d’immenses alpages entre Tibet et Népal. Une vie pastorale rarement approchée. Puis… il y a l’arrivée à Samdzong et enfin Lo Manthang, mythique capitale fortifiée au centre d’une vaste plaine.
Venir d’en haut, par une autre porte en un lieu qui semble au bout du monde, est un luxe inespéré de nos itinérances himalayennes ! »
Fin de l’année 2010… le Mustang en hiver.
Et le compte rendu… Le Mustang en Hiver.
«Me voici de retour de ce premier «Mustang en Hiver» et je suis véritablement comblé.
J’ai retrouvé tout ce que j’aime au Mustang : Rigzum Gonpo, ce désordre géologique unique et la vie qui s’accroche dans les replis de Thétis. Partout et toujours, encore magnifiés par une lumière exceptionnelle et une solitude rare.
Pourtant rien ne c’est passé comme prévu.
Les journées étaient d’une douceur inespérée. Le froid de l’hiver ne faisant son apparition qu’avec le couchée du soleil. Le bleu du ciel, d’une pureté insoutenable, distillait une lumière cristalline. Quel plaisir de cheminer dans ces conditions. Sur les chemins du Mustang, il fait grand beau, le ciel est d’une limpidité incroyable. Le calme est total et une douce sérénité nous accompagne. Tout change à la fin du jour. Un froid sidéral tombe des étoiles et nous nous réfugions dans les lodges qui parsèment notre périple. Pas de camping en cette saison, nous dormirons chaque soir sous un toit. Détail surprenant, Il n’y a pas de touriste au Mustang en hiver, et cette singularité nous comble.
La Kali Gandaki, qui me semblait un fil rouge intéressant, n’était ni gelée ni en basses eaux. Pourtant elle était bien là, toujours aussi présente. Fil ténu qui relie le bas et le haut, depuis la nuit des temps.
Pas un souffle. Le temps s’écoule doucement. La vie c’est arrêtée.
Toute la vie ?… »
Un petit topo…
Pour un nouvel itinéraire au-dessus de Samdzong vers l’ancien monastère de Kimbu.
En 2012.
Le projet du Bhrikuti en 2012.
L’introduction :
« Ce voyage, que j’ai déjà réalisé au printemps 2010, est à la fois un grand trek et une expédition, avec l’ascension d’un sommet élevé mais très abordable, le Bhrikuti Shail.
En changeant de saison, la dimension exploratoire est bien présente et c’est aussi l’un des attraits de ce projet. Et il me reste toujours à décourir où se trouve Chödzong Gompa et à visiter « The Snow Leopard Cave ».
Un extrait de mon carnet de note.
« Entre le camp de base du Gaugiri et l’alpage de Chumuja…
Il est déjà tard, peut-être le milieu de l’après-midi. Nous sommes sur une large croupe avec de grands replats d’un vert éclatant. Sommes-nous encore au Mustang ? Nous venons de sortir du brouillard. Le paysage est exceptionnel. Pas de souci, je sais exactement où nous sommes et où nous allons. Derrière moi, relativement groupée, toute l’équipe est aussi sur la bonne voie. L’expérience de l’année passée est bien présente à mon esprit…
«Rester tous ensemble, surtout contrôler l’équipe de cuisine et les muletiers, et rassurer tout le monde». Au loin, la plaine de Lo Manthang annonce bientôt la fin du voyage. Après une mise au point au col à 5112 m, tout fonctionne à merveille. De toute façon personne de l’équipe ne sait où nous allons ce soir, j’ai promis de l’herbe aux muletiers et de l’eau pour la cuisine. Pour nous, j’espère simplement trouver un petit endroit plat au pied de la descente. Cette tranche de vie illustre à merveille la qualité et la complexité de cet itinéraire aux confins du Mustang. Un trek aux paysages chaque jour renouvelés, un trek réellement unique que je rêve de prolonger un jour, de l’autre côté de la vallée, par une petite traversée jusqu’au lac de l’Araniko Chuli. »
(Ce sera fait au printemps 2014 )
L’été 2012, vers le Bhrikuti.
A la rencontre de Bhrikuti, à la fois déesse et princesse. Un billet culturel avec Etienne Principaud.
La traversée du Bhrikuti », présentation du projet 2012
« Jamais réalisée, cette traversée concentre tout mon savoir-faire en Himalaya.
Nous serons radicalement en dehors des sentiers battus, pour réaliser un projet qui est rarement proposée en alpinisme, la traversée d’un sommet. Mais pas de souci, l’arête sommitale est large et de difficulté modérée.
La mousson, forcément présente, ne devrait pas complexifier notre aventure, car l’itinéraire est évident.
Il suffit de suivre l’arête !
En alpinisme, faire une traversée est un exercice très particulier. Cela implique obligatoirement un passage par le haut, une traversée d’arête, un voyage entre ciel et terre.
Pour traverser un sommet, il faut forcément larguer les amarres, quitter définitivement le camp de base pour en rejoindre un autre, de l’autre côté. Il ne s’agit plus simplement d’un regard « par-delà le col » mais bien d’un voyage sans retour. Il faut affronter la haute mer, quitter la sécurité d’un aller-retour au sommet, pour radicalement aller de l’avant. S’engager individuellement avec toute la force et la solidarité d’une équipe.
Notre jeu d’alpiniste en devient forcément transformé.
Il nous oblige à encore plus d’attention, encore plus de respect à notre personne et aux autres, encore plus d’adaptation à l’environnement.
En particulier, le choix du matériel doit être particulièrement judicieux pour faire face à toutes les situations. Car ce voyage est surtout dans la durée et le temps qu’il soit météo ou temporel s’amuse parfois à nous jouer de drôles de tours.
Vers le Bhrikuti, mais par l’itinéraire original des japonais.
Mais un compte rendu que je n’ai pas réussi à terminer… Dommage.
Automne 2013, Au nord Mustang.
La présentation du voyage.
Le voyage au Mustang avec TIRAWA
« Un fonctionnement à géométrie variable.
C’est une situation assez rare dans un groupe encadré d’une agence. Ce matin depuis Ghuma Thati, chacun à le choix de sa randonnée.
Il y a le petit groupe des «Saligrammes» qui vont simplement traverser le col et descendre à Batsyak Khola Camp.
Il y a le groupe des «Epicuriens» qui vont jouir de la vue sur les Damodar depuis le sommet de Kyumupani, 5565 m..
Et celui des «Léopards des neiges» qui court la montagne pour mieux comprendre le paysage et trouver de nouveaux itinéraires. Nous avons traversé le Yaripangle 5921m, pour redescendre dans le lit de la Batsyak Khola. »
Mais aussi…
« Le jour du sommet, une journée qui aurait du être exemplaire ?
Mais en Himalaya, même une course facile n’est jamais vraiment facile. Avec l’altitude et l’isolement tout peut arriver.
Nous avons frôlé la catastrophe et j’ai bien cru que nous allions revivre le scénario dramatique de l’automne passé, où Marcel avait fait un premier AIT à 100 m du sommet du Bhrikuti, puis un AVC beaucoup plus grave à Ghami avec une évacuation en hélicoptère.
L’histoire vaut la peine d’être racontée car elle correspond dans notre environnement de guide à un «REC*», qui est ensuite utilisé et commenté durant nos sessions de recyclages professionnels. »
A lire avec attention dans le compte rendu…
Et surtout nous allons, non seulement trouver Chödzong Gompa mais surtout avoir la chance d’entrer à l’intérieur du monastère et d’admirer des peinture extraordinaire.
«Il faut sauver Chödzong…
Après une dernière visite aux Bodhisatwas grandioses du monastère de Tubtchen, mon après-midi à Lo fut particulièrement intense et riche d’enseignements.
Je m’étais donné comme objectif de comprendre les enjeux et les interactions autour de Chödzong Gompa dans la communauté de Lo. Je voulais comprendre la nature exacte de l’interdit (assujetti de lourdes amendes) qui avait été instauré par le Youth Club de Lo Manthang, et surtout les raisons, les besoins profonds, qui avaient motivés cette décision.
Je savais que Pete Athans et l’équipe de tournage du National Geographic qui voulait continuer leur investigation des grottes en Upper Mustang, avaient été intercepté ce printemps, avec interdiction de se rendre à Chôdzong. Plus surprenant encore, l’année précédente, Luigi Fieni n’avait pas pu obtenir l’autorisation d’aller étudier les peintures avec son groupe de peintres restaurateurs, pourtant directement issus des familles de Lo. »
La suite à lire dans le compte rendu…
Et forcément, nos itinérances au Mustang ont fait le bonheur des lecteurs de Trek Magazine.
Automne 2014. La traversée du Mustang Himal…
Le compte rendu du Mustang Himal.
Le N° 411 de Montagne Magazine de Janvier 2015 avec un article sur la traversée du Mustang Himal.
(Et aussi un superbe sujet sur la Patagonie!)
Les grottes peintes du Mustang et la recherche de monastère mystérieux.
Sacred landscape of the Himalaya.
Konchok Ling, une grotte exceptionnelle !
La traversée de Konchok Ling depuis Samdzong.
Une nouvelle grotte, Ringdzin Ling.
Mais où se trouve le monastère troglodyte de Chödzong ?
Le monastère troglodyte de Chödzong. En fin de ce compte rendu.
Le Kabum de Tangye, dans le compte rendu de la traversée du Mustang Himal.
Le projet de livre
Les nouveaux sentiers du Mustang, un projet de topo-guide.
Et le prochain topo… sur les plus beaux treks du Mustang, qui sera édité au printemps 2015. Enfin…
L’alpinisme dans le massif du Saribung.
Une initiative à promouvoir... Une cotation Himalaya spécifique, pour mieux comprendre le charabia des topos
Des pages plus culturelles avec Etienne Principaud… A lire absolument !!!
« Sur les traces du sacré », une déambulation culturelle
Les arbres au Mustang, avec Jean Paul Charpentier.
L’origine des noms de lieux, au Mustang.
Le livre de Jean Marc Porte aux éditions Glénat. « Les plus beaux trekking du monde »
Le prochain voyage au printemps 1015… « vers les sommets enneigés du Mustang. »
En collaboration avec Trek Magazine et avec Tonio Nicolazzi.
Dhye, le Bhrikuti et le chainon manquant.
Encore un voyage inédit, mais avec aussi l’objectif de faire avancer l’idée de la nécessité de réhabiliter un ancien sentier, des lacs de Damodar Kunda au village de Dhye.
Et déjà d’autres idées, toujours avec le même esprit, la même passion.
Chaque année je vais proposer un grand voyage conjugant randonnée alpinisme et culture.
Bishal Rai, de son côté, proposera des circuit plus accessibles, plus courts et plus axés sur le trek.
A suivre donc…
Et rendez-vous en 2018
Salut Paulo
Je viens de parcourir ton « résumé » de cette belle aventure du Mustang et j’essaie de mesurer toute la préparation de ces différents parcours au long des années ! Difficile exercice…
J’ai été touché par ton « retour » sur les mésaventures de Michel et Pascal et par la justesse de ton analyse. Pour avoir vécu à ma modeste expérience des situations complexes de ce genre, je confirme ce que j’ai écrit récemment sur la liste SNGM, comme quoi les REC devraient être consultables, tout en restant anonymes, par la communauté des guides afin d’en tirer les enseignements utiles!
J’espère pouvoir te croiser plus longuement que 5′ chez Fred à la Grave, et pouvoir aborder avec toi ce sujet.
Ciao il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas…encore que !
Bravo pour ces beaux moments de partage par site interposé.
See you
Bonjour mr Grobel,
Je ne vous connais que par vos articles et vos photos que je trouve les uns comme les autres remarquables de sensibilité et d’émotion.
Après plusieurs treks dans diverses régions du Népal et après être passé plusieurs fois si près de cette frontière du Mustang,j’ai eu le désir profond a mon tour il y a quelques années de partir vers cette merveilleuse région tibétaine.Je n’ai pas comme vous les mots pour d’écrire ce que j’ai ressenti devant tant de beauté, un véritable choc.Si bien que j’y suis retourné une seconde fois et malgré l’âge je compte bien dès qu’il sera possible y revenir et agrandir un peu plus mon périple et profiter ainsi davantage de cette culture et de cet environnement.
A tout hasard, pourriez vous me renseigner ou trouver votre livre « les plus beaux treks du Mustang »car j’ai cherché mais en vain.
Je vous souhaite le meilleur pour l’avenir et pourquoi pas au détour d’un chemin ici ou ailleurs.
Namasté