Le rendez-vous et l’entrée dans le massif de l’Oberland.
Comme nous serons à priori tous en train, nous pouvons choisir notre 1ère étape.
- Simple, confortable et très chère par le petit train du Junfraujoch avec un rendez-vous à Grindelwald le matin du premier jour, puis une courte traversée à la Monchsjoch Hutte.
- Avec un rendez-vous la veille depuis la vallée du Rhône, puis en remontant le glacier d’Aletsch et en dormant à Koncordia Hutte. Long et plat… Pas forcément très intéressant, mais plus progressif en terme d’altitude.
Au final tout dépendra de la météo !
J’aimerais bien réussir quelques grands sommets et nous avons le choix entre la Jungfrau et le Monch (en crampons) depuis la Mönchsjochhütte à 3650 m. Mais que faire de cette envie de Berglihutte ?
La traversée des Fiescherhorn pour rejoindre la Finsterhaarhorn hutte est une très belle option. Là aussi, à partir de ce refuge typique de l’Oberland, un autre grand sommet est en ligne de mire, c’est aussi le plus haut du massif, avec un peu d’alpinisme pour l’arête finale. Un superbe objectif !
Puis la porte de sortie est forcément l’Oberaarjochhutte, qui comme son nom l’indique se trouve à un col (!).Oserons-nous en traverser un autre pour atteindre la grande cabane en pierre de la Lauteraarhütte (non gardé…) pour ce détour vers le Far-Est sauvage de l’Oberland.
Puis, pour l’entrée dans le massif du Dammastock. De nouveau, les choix sont multiples.
- Utiliser la Gelmerhütte, en changeant juste de versant. Mais qu’en est-il de la Triffhutte cet hiver, bousculé récemment par une avalanche ?
- ou descendre en vallée pour un accès plus simple par le Nord. Vers le Sustenhorn 3502 m, et la Tierberglihütte.
Avant de se replonger dans la lecture et la correction de cet article sur
le ski sur glacier. Le coeur de notre sujet