C’est aussi un sommet qui possède deux camps de base.
- L’un à l’Ouest, très accessible et fréquenté, bien que personne n’aille réellement au vrai camp de base, et ne sait précisément où il se trouve. Surtout il n’y a pas d’itinéraire d’ascension répertorié de ce côté de la montagne. ÈTRANGE…
- Le deuxième, à l’Est, semble documenté mais très peu de groupe d’alpinistes le fréquentent, malgré le nombre de propositions d’agences sur le net. Le meilleur itinéraire d’accès n’est pas très clair, à priori avec des problèmes d’eau à l’automne, de visibilité et de sangsues au printemps. Surtout, nous n’avons pas trouvé de compte rendu, ni de photos ou d’informations précises sur sa voie normale d’ascension.
Le cadre et l’ambiance sont pourtant grandioses, la présence du Macchapuchhare est inspirante et l’intérêt alpinistique bien réel. D’emblée, l’idée d’une traversée nous a séduit.
Récit d’une première tentative bien timide, où nous avons appris l’humilité et beaucoup d’autres choses.