Oisans sauvage…

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… Si cher à Samivel !

Un massif complexe où les vallées profondes au caractère marqué s’enchevêtrent à perte de vue, avec de beaux sommets en point de repère et une histoire de l’alpinisme captivante.

Bien sûr, il y a la Reine Meije mais aussi des sommets et des grands cols accessibles à beaucoup de randonneurs.

En ce début de siècle, les glaciers souffrent énormément et recul à vue d’oeil.
Les itinéraires naguère si populaires deviennent de plus en plus complexes et il s’agit peut-être aujourd’hui de changer nos habitudes.  Pour ces itinéraires abordables, (quand ils sont en neige), je vous propose de fréquenter la montagne plutôt en début de saison, quand les glaciers sont encore bien blancs.

Une belle manière de promouvoir une montagne entre-deux saisons, qui hésite encore entre l’hiver et l’été.
De favoriser la fréquentation de la montagne et des refuges de la mi juin à début juillet.

La vie d egardien, pas forcément simple tous les jours. Respect et attention...
La vie de gardien, pas forcément simple tous les jours. Respect et attention…

STD

Le fil directeur du séjour…
pour le chapitre Oisans-Ecrins du prochain livre «Randonnées d’Altitude».

  • Vivre ce qui fait le caractère de cette vallée et réussir à le traduire en impressions, en photos et en mots.
  • Construire une « autre » pratique de la montagne pour prendre en compte le recul glaciaire.

Des points de repère et d’intérêts… pour nous guider.

  • De la rando et de l’alpinisme juste avant l’été… ?
  • Le passage du Serret du savon.
  • Redécouvrir une Haute Route de l’Oisans.
  • Des refuges bien haut perchés et peu fréquentés. Adèle, le Promontoire et l’Aigle…
  • La STD, les clubs de montagne et leurs politiques d’aménagement.
  • Et bien sûr, l’ambiance particulière de cet «Oisans Sauvage».

 Une idée de l’itinéraire

  • J-1, dimanche 3 juillet
    RDV aux Hières à partir de 17h
  • J 1, Depuis le Col du Lautaret. Sentier des Crevasses et montée à Adèle Planchard
  • J 2, La Grande Ruine, encordement et école de neige. Refuge Adèle Planchard.
  • J 3, Traversée du Col de la Casse Déserte, Vallon des Etançons, Refuge du Promontoire.
  • J 4, Brèche de la Meije et Passage du Serret du Savon, Refuge de l’Aigle.
  • J 5, Meije Orientale, Refuge de l’Aigle.
  • J 6,  Vires Amieux et Col du Bec. Descente à La Grave.
    Séparation après le repas de midi au Pas de l’Âne.

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Taille du groupe et fonctionnement.

De 3 à 5 personnes.
Soit un groupe maximum de 6 personnes avec moi, et donc trois cordées.
Bien sûr, ce sont des cordées de 2, qui évoluent en autonomie.
Et c’est également un séjour d’enseignement de l’alpinisme.

Niveau technique

Malgré le niveau technique peu important (environ F/PD en neige), il est nécessaire d’être en bonne forme physique et d’avoir une petite expérience de l’alpinisme.
Mais c’est aussi un séjour d’initiation à l’alpinisme et nous prendrons le temps d’aborder et d’apprendre toutes les techniques nécessaire.


Les dates…

Du dimanche 3 au vendredi 8 juillet 2016.


Un été dans les Alpes

Cet été dans les Alpes, je vous invite à un pas de côté. Je vous invite juste à changer de point de vue.

N’être pas seulement alpinistes ou randonneur, pas seulement compagnon de cordée ou de voyage mais un peu tout cela à la fois et avec surtout l’envie de m’accompagner dans mon projet de reporter-photographe pour témoigner «d’une autre montagne».

Une montagne à vivre, conjuguant harmonieusement culture, nature et itinérance.
Pour raconter des histoires, documenter des itinéraires et au final éditer un livre sur cette montagne de l’entre-deux, où s’entremêle alpinisme, randonnée et escalade en des déambulations aussi surprenantes que jubilatoires, sauvages et engagées.

Devenir un peu journaliste ou tout du moins observateur
et acteur du monde de la montagne.

Les séjours que je vous propose cet été n’ont donc rien à voir avec les circuits + ou – classiques des agences. Ils sont uniques… Et certainement un peu wild !
Ils partent d’une certaine «envie de montagne», de la wilderness, pour explorer l’essence d’un massif.
D’un besoin de vivre et de s’immerger dans cette montagne pour en rapporter des impressions de voyage. Riches d’émotions, d’expériences et de connaissances.

Pas de programme «ficelé» jusqu’aux moindres détails.

Au contraire, un fil directeur pour nous guider et un peu d’espace pour accueillir l’imprévu, pour choisir le meilleur chemin.
Avec un peu d’aléas aussi, un certain goût d’une aventure à construire ensemble.
Tout ce qui fait le plaisir d’un voyage à la cime comme l’écrit si bien Bernard Amy.

Une petite porte vers le Vallon des Etançons et un bel enneigement.
Une petite porte vers le Vallon des Etançons et un bel enneigement.

Concrètement, pour s’inscrire

L’inscription se fait directement auprès de moi, par mail puis par courrier avec un chèque d’accompte des honoraires, sur la base de l’engagement d’un guide de haute montagne.

Sur le terrain, nous fonctionnerons avec une caisse commune, pour plus de souplesse. Le montant de ces frais a été évalué au mieux.

Soit : 500 € en chèque, dont 250 € à l’inscription, à l’ordre de Paul Grobel.
Et environ 450 € en espèces pour la caisse commune.

Il y  aura forcément plus de neige en ce début de saison...
Il y aura forcément plus de neige en ce début de saison…

Paulo, au début d’une semaine d’initiation au ski de rando.
Le 20 Février 2016

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